
Il ou elle dit avoir une vocation religieuse. Comment partager son trésor ?
Quelques pistes pour prendre au sérieux et respecter sa parole :
- Ne pas publier sur tous les toits ce "secret" qui est le sien. Garder cette confidence, sans en reparler forcément mais en étant attentif à ce que vit l'enfant.
- Conseiller de prier avec confiance : "Dieu te donnera sa lumière".
- Ne pas semer le doute. Tout le monde a une vocation et, très souvent, elle s’annonce à 12-13 ans, seuil de la première maturité.
- Témoigner de sa propre vocation. Mariage, vie religieuse, célibat… Qu’importe, du moment que nous ne lui renvoyons pas l’image d’une vie "subie".
- Ne laisser personne se moquer (frères, sœurs, amis, adultes) et le préparer à répondre à des remarques comme : "On en reparlera quand tu auras l’âge", "Passe ton bac d’abord" ou "Tu ne vas quand même pas rester chaste"…
- L’aider à reconnaître deux vrais signes de discernement : la paix et la joie.
- Le mettre en contact avec une personne responsable. Dans chaque diocèse, par exemple, un prêtre du Service des Vocations est disponible et dispose de documents.