« « L’Œuvre des Vocations a financé près de 200 séminaristes en 2020. Votre soutien par la prière, les dons et les legs leur permettent de se préparer de dire « oui » à l’appel de Christ en suivant une solide formation théologique, humaine et spirituelle. Dans les comptes 2020 ci-dessous, vous lirez que les fruits de votre générosité ont effectivement permis à l’Œuvre des Vocations d’assurer sa mission de financement des séminaristes et de la pastorale des Vocations pour l’ensemble des diocèses d’Ile-de-France.
En vous assurant de ma prière et de celle des séminaristes »
Mgr Emmanuel Tois,
Directeur de l’Œuvre des Vocations
Historiquement au service de Paris, Nanterre, Saint-Denis et Créteil, l’Œuvre des Vocations a élargi son champ géographique d’activité en septembre 2015 à 3 diocèses d’Ile-de-France supplémentaires : Meaux, Pontoise et Évry.
L’arrivée du diocèse de Versailles en 2017 permet à l’Œuvre des Vocations de financer désormais la formation de tous les séminaristes diocésains d’Ile-de-France.
Les missions de l’Œuvre des Vocations :
- Financer la formation des séminaristes de l’Église Catholique en Ile-de-France
- Sensibiliser les jeunes à la question de la vocation sacerdotale et religieuse


Les ressources en 2020
Les ressources s’élèvent à 5312 K€ , dont 4 087 K€ au titre des dons, des quêtes versées par les paroisses et 1 179K€ au titre des legs, donations, assurance-vie.
Les emplois en 2020
Nos charges s’élèvent à 5 227 K€, dont 4 717 K€ dédiés aux séminaristes.
L’Œuvre des Vocations est intégrée à la gestion de l’Association Diocésaine de Paris qui émet les reçus fiscaux. Les comptes de l’Œuvre des Vocations sont consolidés dans les comptes de l’Association Diocésaine de Paris, consultables en ligne :
http://www.paris.catholique.fr/panorama-economique
L’Œuvre des Vocations remercie tous ses fidèles donateurs pour leur soutien.
Portraits de donateurs
L’Œuvre des Vocations compte plus de 12 000 donateurs, en majorité des fidèles impliqués et tournés vers l’avenir de l’Église.
Pourquoi donnent-ils ? Depuis combien de temps ? Quel est leur lien avec les séminaristes et avec l’Église ? Quelle forme d’altruisme perpétuent–ils à travers leur soutien ?
> Se sentir personnellement concerné

« C’est la vocation et l’engagement de notre fils -désormais prêtre pour le diocèse de Paris - qui nous a poussés à être donateurs de l’Œuvre des vocations, et nous en sommes très heureux », confient Marc et Marie-Paule

Pour Véronique et Jacques, couple dynamique engagé dans l’Église, c’est également l’entrée au séminaire de leur fils qui a été le déclencheur : « Nous sommes sensibilisés à la formation des futurs prêtres, et c’est aussi une façon de nous sentir plus proches de notre fils. Nous avons été touchés par l’accueil que nous avons reçu de la part des membres de l’Œuvre des vocations, les soirées de prière et de rencontre avec les séminaristes et les prêtres qui les encadrent, les visites de séminaires et le magazine.
Nous avons considéré la somme que nous aurions eue à dépenser si notre fils était resté à la maison poursuivre ses études. »

Pour Patrick et Marguerite-Marie, grands-parents d’un séminariste, c’est la transmission qui est la force de leur engagement « Nous sommes donateurs depuis une dizaine d’années nous sommes tous appelés à suivre le Christ, chacun selon son charisme ; et nous, les anciens, nous avons le devoir d’aider les plus jeunes, qui veulent suivre le Christ en s’engageant dans la voie du sacerdoce. Nous nous sentons d’autant plus concernés que l’un de nos petits-fils est entré en année de propédeutique cette année et nous nous engageons à participer au financement de sa formation. »
> Accompagner la formation des prêtres

« C’est en 2009 que j’ai effectué mon premier don à l’Œuvre des vocations. Vouloir des prêtres sans contribuer à leur formation est un paradoxe dont nous ne sommes pas assez conscients. Le don aux séminaristes devrait, en toute logique, accompagner le Denier de l’Église. C’est donc sans hésitation que j’ai fait une place à l’Œuvre des vocations parmi les autres œuvres ou ONG auxquelles je donne chaque année. Côtoyer des séminaristes, connaître ainsi la teneur de leurs études ou l’organisation de leur lieu de vie, est un bon moyen pour comprendre l’importance de les soutenir , annonce Didier conscient de son devoir de chrétien.

Pour Christian, primo-donateur en 2019 la notion de solidarité interdiocésaine fait sens : « Catholique pratiquant, je sais que l’Église ne peut exister que grâce la générosité des fidèles. J’ai choisi de donner à plusieurs oeuvres en fonction de l’importance qu’elles revêtaient à mes yeux. J’ai choisi l’Œuvre des Vocations pour une double raison : d’une part, il est essentiel que nous ayons toujours des prêtres à la formation desquels il est important de contribuer ; d’autre part, elle concerne huit diocèses d’Île-de-France. Habitant Paris, c’est pour moi une occasion d’être solidaire d’autres diocèses. »
> Donner avec fidélité et générosité

Fabien, investi professionnellement et engagé activement dans l’Église nous livre : « Je suis un multi-donateur car, en plus de l'Œuvre des Vocations, je donne à d’autres œuvres caritatives. L’Œuvre des Vocations permet de soutenir les futurs prêtres dont nous avons tant besoin pour nous donner les sacrements et nous guider dans la vie spirituelle. Il me semble que cela relève du devoir d’état de tout fidèle de participer à cette œuvre. ».

« Proches d’une paroisse abritant une maison du séminaire de Paris, nous avons été plus particulièrement touchés par les témoignages de ces séminaristes et par la rigueur de leur formation », rapporte Elodie jeune donatrice.
Elle ajoute « il est nécessaire d’avoir des prêtres pour célébrer et donner les sacrements pour les chrétiens d’aujourd’hui et pour les générations à venir. »

Frère Philippe témoigne pour l’abbaye Notre-Dame de Cîteaux :
« L’Œuvre des Vocations fait partie des œuvres que nous soutenons depuis de nombreuses années, compte tenu de son champ d’action »